Quand tout s'effondre, la Parole de Dieu demeure et c'est alors qu'elle se révèle dans sa vérité propre. Nous n’avons pas besoin d’être arrêtés, persécutés ou mis à mort : la vérité d'une vie en Dieu se dévoile dans nos tensions, nos contradictions, nos fragilités.

Veiller, ce n’est pas craindre le retour du maître, mais demeurer éveillé à la confiance qui nous est faite. C’est la conscience d’être aimé qui rend vraiment vigilant !

On l’appelait « Nic-Nac » - comme les bonbons de St Nicolas. Je l'admirais. Je l'aimais. Elle est partie pour toujours, il y a dix ans...

J'ai mal à ma liberté.

Je voudrais croire que nous suivons un même chemin évangélique de fraternité, de patience et de vérité, qui nous invite à construire une communauté où l'on ose parler vrai, dans l'amour, avec la certitude que Dieu est là, au coeur de nos relations.

Où Jésus dépasse la logique aristotélicienne classique pour ouvrir un espace où chacun peut agir dans la dynamique du Royaume.

Si Jésus n'est pas prophète en son pays, n'est-ce pas par l'incapacité des siens à voir autre chose en lui que l'homme ?

Réflexions, étonnements, perles et pistes d'action au sortir d'une session sur "L'extrême droite, l'évangile et nous"

L'homme, en travaillant avec Dieu, devient collaborateur de la collaboration de Dieu avec sa création. 1+1 font plus que 2 !

Donne-nous de rayonner ta justice et ta bonté dans notre travail, notre famille, notre communauté. Comme tu le fais dans cette parabole...

Les noyaux existent dans les fruits, bons ou pourris. Les replantons-nous ? Comment soutenons-nous les jeunes pousses qui témoigneront ?

En osant la vulnérabilité, en révélant son être profond, en ré-enchantant la relation ... Bon plan !

Heureuse es-tu Marie ! Heureux ceux qui écoutent la Parole et la gardent ! Heureux les Ninivites et la reine de Saba ! Heureux sommes-nous ?

C'est ce que nous propose Marc qui décrit la vie trépidante de Jésus. Il y a urgence, pour l'avènement du Royaume !

Quatre lignes pour donner du rythme à la pensée, à l'émotion, initier un questionnement, amorcer une méditation, esquisser un chant...

Mais de fraternité ?

Une mer calme et douce était-elle un bon choix pour illustrer l'hospitalité du maintenant ? Pas sûr...

Une belle expression de Marion Müller-Colard (La vie funambule) qui résonne avec les lectures de ce 7/11 : Rm 12 : 5-16b & Lc 14 : 15-24

Jésus opère de guérisons le jour du sabbat, ce n'est ni un hasard ni une provocation : c'est une nécessité !

Et si, au lieu d’appeler cette parabole « la parabole des vignerons homicides », ce qui est plutôt désespérant, nous parlions dorénavant de « la parabole de la persévérance de Dieu », ou de « la parabole du Royaume qui se déploie » ? Ne rejoindrions-nous pas le psaume 117 auquel le Christ fait référence ?