Quand Zacharie, Elisabeth et Jean entrent en scène pour nous permettre de comprendre ce grand bouleversement qu'est l'arrivée de Jésus...

« Celui qui fait la vérité vient à la lumière pour qu’il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu » (Jn 3, 21)

C'est le vécu et la mission de ceux qui dévalent, guéris et repus, la montagne où ils ont rencontré Dieu.

C’est à la veuve, c'est à mon jeune visiteur qu’il le dit. C’est à moi aussi. Prier sans me décourager, car je frappe aussi à sa porte...

Une mer calme et douce était-elle un bon choix pour illustrer l'hospitalité du maintenant ? Pas sûr...

Une belle expression de Marion Müller-Colard (La vie funambule) qui résonne avec les lectures de ce 7/11 : Rm 12 : 5-16b & Lc 14 : 15-24

Est-ce pour nous que tu dis cela, ou bien pour tous ? Bonne question !

« A celui qui le demande, Jésus a donné des mots pour prier. Une prière simple, dans laquelle chacun d'entre nous peut mettre sa voix. »

Kéksèksa ? Est-ce encore de notre époque ? On fait comment ? Qui s'y colle ?

ou « Mal-heureux êtes-vous, hypocrites, sépulcres blanchis, fils d'assassins de prophètes ! »

Dieu donne la manne au peuple d'Israël et celui-ci rouspète. Jésus propose aux disciples de donner eux-mêmes à manger à la foule. Quid ?

Comment Jésus présenterait-il la parabole du semeur aujourd'hui à notre monde ? Avec l'histoire des haricots de Soissons ?

Donner, offrir son cœur à l’autre qui émeut, qui touche : un acte d'amour vrai. Pas besoin du tralala qui est autour !

L'imagination des hommes pour martyriser leurs semblables est débordante ! Sur les fresques, les martyrs semblent réjouis... Pourquoi ?

C'est une invitation à dire : Oui !

Une femme, veuve, sept frères, sept maris, tous décédés, et elle meurt aussi… Que va-t-il se passer quand ils ressusciteront ?

Accomplir sa mission, partir, tourner la page, commencer une nouvelle histoire dans l'absence et la confiance à la suite de Jésus et de Paul

Joie et douleur sont inextricablement liées à la condition humaine, à la vie. La joie n’efface pas la peine : elle prend sa place...

C'est cette paix-là que nous sommes invités à partager après le Notre-Père. C'est plus qu'une marque de fraternité !

Un magnifique scénario : surprise, prédication danger, sauvetage. Avec une magnifique petite communauté confiante en Dieu derrière !